Pour couvrir les besoins émergents, le nombre d’organisations non gouvernementales (ONG), d’organisations confessionnelles (organisations confessionnelles) et d’organisations non gouvernementales (ONG) internationales a considérablement augmenté à tous égards. L’Organisation des Nations Unies a élargi son champ de partenariat afin d’en tirer parti et d’utiliser de nouvelles parties prenantes. De plus, tirer parti de la volonté et de la détermination de la communauté syrienne et des tentatives gouvernementales et internationales de promouvoir le bien-être public est le meilleur moment pour orienter ces actions vers les questions relatives au handicap et ouvrir la voie à des changements de comportement et de réflexion.
Cela commence par une compréhension réelle de l’handicap, afin que toutes les parties impliquées partagent la même compréhension des approches, des modèles, des normes et des besoins en matière d’handicap. Ensuite, des projets peuvent être proposés pour combler les lacunes en matière de matérialisation.
Le statut de vie des personnes handicapées en Syrie est dynamique et réticent. Pour remédier à la détérioration de la situation générale des personnes handicapées, il est nécessaire de modifier radicalement la manière dont les personnes perçoivent l’handicap. Les principaux défis à inspecter dans ce processus sont la faiblesse des capacités nationales, le manque de ressources, les problèmes d’accessibilité, le manque de sensibilisation et le manque de moyens de subsistance.
La Syrie est maintenant prête à faire passer l’handicap à un autre niveau. Les cinq prochaines années devraient être consacrées à la question de l’handicap, avec le changement d’attitude observé de la part du gouvernement pour adrésser le problème, la préparation de l’ONU, des ONGs et des ONGI. Ceci devrait donner des réponses aux espérances des personnes handicapées d’être libéré de toutes les limitations actuelles, les jugements et les obstacles auxquels ils sont confrontés chaque jour. Utiliser les informations recueillies dans cette étude aiderait les demandeurs de changement à percevoir la réalité des personnes handicapées en Syrie et à planifier en conséquence et de cesser de tolérer les problèmes des personnes handicapées et à en faire une priorité absolue dans toutes les actions.
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